Constance de la Fontaine et Daphné Bardonneau sont deux amies d’enfances à l’origine des fourrures Bonny & Clyde. Au programme : rien de classique, mais au contraire de véritables « doudous » pour grandes filles pas BCBG à retrouver en exclusivité chez Montaigne Market.
Par Karen Rouach
Comment vous êtes-vous rencontrées toutes les deux ?
Sur les bancs de l’école a 14 ans.
Que faisiez-vous avant de lancer Bonny & Clyde ?
Des enfants ! Et encore avant Constance travaillait dans mode et j’étais attachée de presse.
Comment avez-vous décidé de vous lancer ?
Nos enfants ont grandi et nous avons décidé de créer quelque chose toutes les deux autour de notre passion commune et en adéquation avec nos formations professionnelles : les belles choses ! La fourrure évidemment en faisait partie, mais nous ne trouvions pas ce que nous voulions en boutique, trop cher et trop classique, alors nous avons décidé de créer les modèles dont nous rêvions.
Pourquoi avoir appelé la marque Bonny & Clyde ?
Nous avons choisi de rendre hommage à ce duo glamour et rebelle parce qu’il nous ressemble, en prenant leur nom mais en changeant quand même l’orthographe. Maintenant, on se doit de garder un côté rock dans nos créations…
Pourquoi avoir choisi la fourrure ?
Parce que pour nous, une touche de fourrure est indispensable en hiver. C’est une matière sublime, et nous avons réalisé à quel point il était difficile de trouver des pièces de belle qualité à prix abordables.
Pouvez-vous me parler de votre première collection, en exclusivité chez Montaigne Market ?
En deux mots : démocratisation et ré-interprétation. On peut avoir un beau vison sans faire mémère grâce à certains détails : des fronces aux épaules ou un nœud rock dans le dos. Une belle coupe ajustée, et vous avez une pièce d’exception.
À quoi reconnait-on vos fourrures ?
À leur couleur. Nous avons mis du bleu, du violet, ou encore du léopard, ce qui n’est pas très fréquent sur un manteau en fourrure. Et nous ne travaillons qu’avec des matières d’exception comme le renard et le vison.
